MAITRE  ET  PROFESSEUR
DE  KUNG FU

 
 
Le maître OLIVIER NGUEMA Alias Me Super-li est un jeune gabonais né dans la province du Nord Gabon précisément dans la ville d'Oyem chef-lieu de la province du Woleu Ntem 9éme province du pays.

Le maître Olivier Nguema, très jeune (3 ans) se donne à la pratique des arts martiaux asiatiques par le canal des films de "Bruce lee" premièrement et ensuite par la pratique du karaté-do avec son Fidel ami au petit nom de "Fanta" sous la direction de maître "Yamas". Il fut gradé pour la première fois de sa vie en 1992 (11 ans) ceintures orange par le maître seinssé Monbo Wapatcha lors de la première édition de la tournée de l'Agakado "retour aux sources" c'était à Oyem.

A l'âge de 12 ans, il se retrouve à Libreville la capitale politique gabonaise ou il fera la connaissance étrange d'un grand Maître Japonais de Nin-jutsu.
Comme il habitait le quartier "Derrière l'école Normale" et comme par hasard la résidence de l'ambassadeur du Japon s'y trouvait. Plus étonnants encore, ils étaient voisins (...). Ainsi, il profita de l'enseignement précieux de ce ninja pendant six (6 ans).
 
Un an plus tard à 19 ans, de retour à Oyem, il fait la connaissance d'un très bon pratiquant "Michel Engo" d'un art martial nouvel arrivant au Gabon le qwan ki do; qui plus tard lui donna les bases. Il a également eu la chance de profité des connaissances du grand Maître Ella Alban pendant qu'il était de passage à Oyem lui a gradé 2éme "cap"(littérature à revoir).

Maître Olivier Nguema restant à Oyem après le départ de Michel Engo Nguema, comme si le destin le dirigeait a rencontre un autre pratiquant d'arts martiaux à la personne de Gâethan Egone Obonou alias Maître "Shan's" de kung-fu traditionnel avec qui, il apprendra le style chino vietnamien de kung-fu. Ce dernier devant la toute-puissance d'un jeune pratiquant qui ne voulait qu'apprendre les arts martiaux, le conduit plus tard à Libreville auprès de son maître le nommé Laotsé Mvé Bertrant.

Le maître Mvé Bertrant et le jeune Olivier Nguema se mirent à travailler dans l'art du kung-fu traditionnel pendant très longtemps. Il sortit de là avec une ceinture noire 1° Dan (....) et devient le représentant de maître Mvé au Gabon en 2003. Face à cette dynamique et ses prouesses dans le kung-fu traditionnel, il fut envoyé à Franceville par le canal de son fère ainé professeur de philosophie à ce moment au lycée d'État de Franceville pour enseigner l'art chinois-vietnamien.
 
C'est à Franceville qu'il a eu ces véritables premiers élèves dont Noukoulou Guy Noel actuellement champion du Gabon et instructeur de kung-fu à l'Université Omar Bongo, Pindji Vianney Donald, etc. et c'est également à FCV qu'il a fait la rencontre du Grand Maître Thamasix l'homme qui a enseigné maître Mvé et maître Jhon Lee Ondo l'art du kung-fu shaolin. À l'issue de cette rencontre fruictieuse pour notre jeune, très jeune maître Olivier Nguema que le maître Thamasix va lui recommander son fidèle élève Jhon Lee Ondo pour qu'il l’encadre dans l'art noble du kung-fu shaolin.

Voilà notre petit maître aux mille styles d'arts martiaux de retour à Libreville. (...) avec le maître Jhon Lee Ondo, maître Olivier Nguema fera les beaux jours du Kung fu shaolin pendant les fameuses nuits des arts martiaux aux côtés de son condisciple d'art maître Nguema Richard alias maître "Young" actuellement entraineur de l'équipe gabonaise de shaolin kung-fu également encadreur à la garde républicaine qui avec sa tête brise les briques de 20. La coupure d'une papaye sur le ventre et sur le coup d'un élève allongé sans le blesser réalisé par Maître Olivier Nguema. On signale que le Maître Olivier Nguema a été l'un des premiers ou le premier à réaliser un tel acte pendant la grande nuit des arts martiaux. Ce n'est que de là que le maître Laotsé Mvé à débuté cette pratique sous les consignes de son ancien élève et représentant Olivier Nguema.

Au sorti de cette nouvelle expérience avec le maître Jhon Lee Ondo, notre jeune maître Olivier Nguema est gradé Ceinture noire 1°dan de kung-fu shaolin et baptisé maître Super-Li par le maître Jhon Lee Ondo. Olivier Nguema a continué au côté de maître Jhon jusqu'à la 3°dan de kung-fu shaolin grade reconnu par les experts moines chinois du temple de shaolin en visite pour la première fois en Afrique et à LBV pour la nuit des arts martiaux 2006; avant de s'envoler pour la France où il devient l'un des espoirs des tricolores à l'équipe de France de kung-fu.
 
Une fois en France pour continuer ses études de doctorat d'anthropologie à l'université lumière Lyon 2, il rencontre le très célèbre maître et acteur chinois
Maître Sun fa expert en arts martiaux et sports de combat qui le grade 2°dan de kung-fu wu tang (wu dang).

A suivre!


 
QUELLE EST LA SPÉCIFICITÉ DU KUNG-FU WU DANG ?

Pour l'essentiel, le kung-fu wu dang est l'un des vieux styles de kung-fu du Sud- est de la Chine pour ne pas dire LE PREMIER STYLE DE KUNG-FU AU MONDE, il est toujours comparé au kung-fu de shaolin. c'est un style de combat dynamique et explosif basé sur l'imitation des animaux et la régulation de la respiration. Il est avant tout un style interne avant d'être externe.
 

SIMILITUDE ET DIFFÉRENCE AVEC LE SHAOLIN

_La première similitude est que tout comme le kung-fu de shaolin, le kung-fu wu Dang est né dans une montagne et pratiquer par des moines guerriers taoïstes.

_Le kung-fu de shaolin porte le nom d'une montagne premièrement et d'un monastère ensuite, il est localiser au nord de la Chine.

_Le kung-fu de wu dang porte le nom d'une montagne et aussi d'un monastère localiser au sud-est de la Chine.

_Le shaolin kung-fu est pratiquer par des moines bouddhistes.

_Le wu dang kung-fu est pratiquer par des moines taoïstes.

_Le kung-fu shaolin est avant tout un style externe (travail plus avec la force physique, musculation, "brutalité et violence". LES POSTURES SONT HAUTES, plus accessibles pour les personnes grandes de taille comme les Chinois du nord de la Chine. Car les personnes grandes de taille sont plus allaise avec leurs pieds qu'avec leur bras. Voilà pourquoi le shaolin est plus performent aux coups de pied appeler "dragon", je parle bien du shaolin du Nord,(ce n'est qu'après qu'il fut créé le shaolin du sud qui travail plus les bras comme le wu dang).
 
_Le kung-fu wudan est lui avant tout un style interne (travail plus avec le chi=énergie respiration "la force vitale"imitation véritable des animaux POSTURES TRÈS BASSE, plus accessible pour des personnes de petite taille comme les Chinois du sud de la Chine. Pourquoi de petites tailles, car il est basé dans l'imitation des animaux et les gens de petite taille travail plus avec leur bras qu'avec leurs pieds.

_Le shaolin est bouddhiste

_Le wu dang est taoïste.

Pour plus de questions ou renseignements contacter moi lol.

À suivre
 

C'EST QUOI LE NIN JUTSU

Le Ninjutsu de l’origine à nos jours...
Tout le monde à un moment ou un autre à entendu parler des célèbres et mystérieux Ninja, dont l'histoire semble indissociable de celle du Japon.
Qui étaient-ils? D'où venaient-ils? Où vivaient-ils? Quel fût leur rôle?

Si l’histoire des Ninja reste encore assez obscure au commun des mortels, c’est simplement parce que ces merveilleux guerriers de l’ombre ont réussi à traverser les siècles dans l’anonymat et la discrétion.

Pour en revenir à leur existence et à leur apparition dans l'histoire du Japon, il nous faut remonter bien avant le début de notre ère pour trouver l'une des premières traces de l'utilisation de techniques d'infiltration.

Bien plus tard, au VI ème siècle l'utilisation d'espions par le prince Shokotu donna naissance au qualificatif "Shinobi" ( discret, furtif ) pour désigner ces individus.
Mais c'est réellement à partir de l'ère Chiryaku ( XI ème siècle ) que l'on vit réellement se développer l'Art Ninja.

Lorsque l'on parle d'Art Ninja, il convient de bien préciser qu'il ne s'agit pas d'un standard auquel tout le monde pouvait faire référence, car chaque clan ou plutôt famille, avait développé son propre enseignement et ses propres techniques en fonction des diverses influences qui les composaient.
Ces influences étaient variées et de toutes origines.

L'instabilité du Japon avait conduit de nombreux guerriers à fuir les champs de bataille et chercher refuge dans les montagnes suite à des blessures, des défaites ou à la mort de leur maître.

Des moines, opposés à l'autorité de l'empereur qui tentait d'imposer des conceptions religieuses "officielles" trouvèrent également refuge dans les montagnes et devinrent des moines combattants.

Un grand nombre d'émigrés d'autre pays Asiatiques comme la Corée, la Chine, ayant eux-mêmes fui leur pays, ont apporté leurs connaissances.
Des groupes de nomades, saltimbanques et artistes sont venus se joindre à ces familles et ont apporté leurs compétences si particulières.

On comprend donc qu'avec des influences et des origines aussi diverses les techniques de ces guerriers n'avaient rien de conventionnelles, et il est certain que d'un point de vue stratégique, les Ninja ont fait tout leur possible pour exacerber le côté mystérieux de leurs pratiques dans le seul but d'inspirer la crainte et par-là même s'assurer une certaine tranquillité.

L'attitude du pouvoir à leur égard était plutôt versatile, louant leurs services en période de guerre, ou cherchant à les exterminer à d'autres moments.
Il est même sous entendu que les familles Ninja auraient eu tout intérêt à ce que les grands seigneurs se fassent la guerre, ce qui leur assurait un moyen de subsistance, et l'assurance de ne pas être inquiétés.

Quoiqu'il en soit devant la prolifération de ces familles qui avaient complètement investies les régions d'Iga et de Koga, mais aussi Nagano, Tochigi, et quelques autres régions encore, et devant le danger potentiel que représentait ce contre pouvoir, le général Oda Nobunaga tenta d'exterminer les clans Ninja d'Iga.

Après un premier échec, c'est finalement à dix contre un et à grand renfort d'armes à feu, que le général Nobunaga finit par vaincre.
Au cours de ces affrontements qui durèrent plusieurs jours, de nombreux Ninja périrent et avec eux leur école, puisqu'il était très souvent coutume à l'époque de transmettre son savoir oralement afin d'éviter le vol des écrits.

Néanmoins certains parvinrent à s'enfuir, et purent ainsi continuer à enseigner et transmettre leur savoir.
Près d'un demi siècle plus tard, après un nouveau changement d'attitude à leur égard, les Ninja d'Iga connurent leur période de gloire lorsque Ieyasu Tokugawa devint Shôgun et demanda à Henzo Hattori chef Ninja d'Iga d'organiser sa sécurité, Ils purent ainsi continuer à se développer.

Puis, dans un Japon pacifié, les services des Ninja devinrent de moins en moins utilisés.
Finalement, c'est l'empereur Meiji, qui en supprimant le Shôgunat et le régime féodal, et en introduisant au Japon le modèle Occidental, précipitera définitivement le retour à l'anonymat des Ninja devenus inutiles, sinon dangereux dans un Japon en paix.
C'est aussi à cette époque que naquit Toshitsugu Takamatsu, petit fils de Toda Sensei descendant direct des Ninja d'Iga qui lui transmit ses connaissances, Takamatsu étudia également avec Mizuta Sensei et Ishitani Sensei et devint Soke d'un grand nombre d'écoles anciennes.

Il eut de nombreuses fois l'occasion de mettre en pratique ses connaissances lors de ses périples au Japon, et en Chine.
Lorsqu'il meurt en 1972, Masaaki Hatsumi son élève qui avait hérité du titre de Soke de 9 écoles traditionnelles anciennes crée le Bujinkan en hommage à son maître disparu.
Aujourd'hui la tradition du Ninjutsu continue d'être enseignée dans nos écoles, et nous sommes fiers de pouvoir partager cet héritage avec vous.

Vous ne le savez peut-être pas, mais le Ninjutsu a été inventé à Dunkerque mais au départ ça s’appelait le "Ch’tinjutsu".

Le terme Ch’tinpo, ou ch’tinobu hô, désigne la doctrine des Ch’tinjas écrite en 300 après JC par un moine guerrier du nom d’Alonzo Brouck. Elle met l'accent ch’ti sur l'endurance, la persévérance, la capacité d'adaptation. Ceci comprend donc bien sûr les techniques de combat et de survie dans la nature (dont le camouflage et les soins médicaux), d'endurcissement du corps et de l'esprit, mais aussi la capacité à prévoir le danger et à l'éviter.

Malheureusement, un soir de février 1236, tous les ch’tinjas de Dunkerque sont tombés dans une embuscade et se sont fait massacrer. (Pour célébrer ce drame, il a été décidé de créer le carnaval, qui poursuit à sa manière certains des rudiments du Ch’tinpo.)

Un seul de ces Ch’tinjas a survécu à ce massacre : et pour cause, il avait décidé d’abandonner sa formation, prétextant qu’il était trop vieux pour ces conneries : Raymond Vantielcke. Réfugié en Ecosse sous le nom de Raymond Van Kilt, le dernier Ch’tinja a pris soin de diffuser son savoir uniquement au sein de sa famille.


Histoire des ninjas

Les ninjas étaient a priori à l'origine de troupes formées entre le VIIIe et le IXe siècle, et de bushi vaincus sans seigneurs (r?nin), qui se sont réfugiés dans les provinces d'Iga et de K?ga (maintenant les préfectures de Mie et de Shiga, du côté du lac Biwa). Ayant en commun le déracinement et la défaite, ils développèrent des techniques de survie dans ces contrées sauvages, ainsi que des techniques de combat pragmatiques provenant d'origines diverses. Ils subirent sans doute l'influence :
des pirates (kaizoku - ??) de la région de Kumano, à qui ils doivent les techniques d'utilisation des grappins,
des yamabushi, ascètes vivant dans la montagne et adeptes du shugend? (pratiques mystiques), des moines bouddhistes de la région, notamment des bouddhistes ésotériques shingon, et des hinin, personnes de basse condition sociale utilisées pour les tâches jugées impures, notamment en relation avec le sang et le cuir.

À cette époque, Makibi Kibi, ambassadeur japonais en Chine, amena au Japon les doctrines militaire chinoises, dont L'Art de la guerre de Sun Tzu (appelé Son Shi au Japon).

L'établissement dans ces contrées sauvages et entourées de montagnes, donc sans grand intérêt économique et protégé des invasions des seigneurs voisins, a sans doute contribué à développer un esprit d'indépendance, et notamment l'absence d'attachement à un seigneur et aucune réticence morale à se retourner contre d'anciens alliés. Cela a aussi contribué au secret et donc à l'aura de mystère qui les entoure.

Parmi les probables fondateurs du ninjutsu, on compte le général chinois Ikai qui s'exila à Iga au milieu du XIe siècle et ramena des techniques de combat.
 
Les ninjas étaient sans doute à l'origine des troupes de guerriers similaires à des milices civiles (jizamurai) dont le but était la défense de la province ; ils n'étaient probablement pas uniquement des guerriers mais exerçaient un autre métier (paysan). Il est difficile de donner une date exacte de l'apparition des ninjas, il s'agit sans doute d'une évolution progressive. Le premier recours documenté daté de l'utilisation de ces troupes d'Iga et de K?ga (les Iga shû et les K?ga shû) est sans doute l'attaque du château du seigneur Rokkaku à Magari par le seigneur Ashikaga vers 1487. Ieyasu Tokugawa, qui fut daimy? (seigneur féodal) puis shogun (dictateur militaire du Japon) au XVIe siècle eut fréquemment recours à ces 'agents de renseignement. Mais les ninjas étaient aussi parfois des guerriers inféodés à leur seigneur et n'ayant aucun rapport avec les familles d'Iga et K?ga, comme par exemple ceux utilisés par Shingen Takeda à la même période : il existait plus de soixante dix familles de ninja à travers l'ensemble du Japon à cette époque.

L'événement le plus marquant fut sans doute la sanglante soumission de la province d'Iga (la province actuelle de Mié, est de la vile de Nara) par les troupes de Nobunaga Oda en 1579. Nobunaga était le régent (bien qu'il ne fut pas nommé shogun par l'empereur), et l'indépendance d'Iga représentait un défi à son autorité. Les deux premières tentatives de soumission se soldèrent par un échec. Pour la troisième, il envahit la province avec six armées venant de six endroits différents. Devant le nombre écrasant d'adversaires, les techniques de guérilla se révélèrent insuffisantes et les familles d'Iga et K?ga furent massacrées. Quelques survivants allèrent se réfugier chez les daimy? voisins (dont Ieyasu Tokugawa) et se mirent à leur service.

À partir de là, certains ninjas, nommés onmitsu, employés par le shogun pour espionner les daimyo, et d'autres, les oniwaban, étaient utilisés pour assurer la sécurité rapprochée du shogun et la surveillance de son château, ainsi que dans une certaine mesure la police dans la capitale Edo. En effet, la période Edo se caractérise par une relative paix entre les clans, les techniques de maîtrise non armées ou avec des armes non tranchantes développées par les ninjas étaient particulièrement intéressantes dans ce contexte.
 
Cette technique de combat reste très discrete au Gabon. Je me dis d'avoir le devoir de l'enseigner aux frères gabonais qui le souhaitent. Je tiens à dire que ce style n'est pas compétitif tout comme le wu dang. ceux qui voudront bien l'apprendre doivent savoir qu'il n'existe pas de compétitions de ninja et qu'ils doivent apprendrent l'art de la discrétion. contacter moi pour toute question et information des clubs au Gabon.

A suivre!!!




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